By Didier Steyaert Updated June 10, 2024
Qu'est-ce qu'un Gyrocoptère ?
Le gyrocoptère, ou autogire, est un aéronef léger qui se distingue par son hélice propulsive située à l'arrière et son rotor libre en rotation au-dessus. Contrairement à un hélicoptère, le rotor du gyrocoptère n'est pas motorisé mais est entraîné par le vent relatif, ce qui permet une grande stabilité et une sécurité accrue en vol. Ce type d'appareil offre une expérience de vol unique, idéale pour explorer les paysages depuis le ciel.
Une vue Panoramique à 360°
Le design ouvert de la cabine du gyrocoptère offre une vue panoramique à 360°, ce qui est idéal pour la photographie aérienne. Les photographes ne sont pas limités par les cadres des fenêtres comme dans un avion traditionnel, ce qui leur permet de capturer des images dans toutes les directions sans obstruction. Cette vue dégagée est particulièrement avantageuse pour saisir des panoramas étendus et des compositions dynamiques.
What is a Gyrocopter?
A gyrocopter, or autogyro, is a light aircraft distinguished by its propeller located at the rear and its free-spinning rotor above. Unlike a helicopter, the gyrocopter's rotor is not powered by an engine but is driven by the relative wind, providing great stability and increased safety during flight. This type of aircraft offers a unique flying experience, ideal for exploring landscapes from the sky.
A 360° Panoramic View
The open design of the gyrocopter cabin offers a 360° panoramic view, making it ideal for aerial photography. Photographers are not restricted by window frames as in a traditional airplane, allowing them to capture images in all directions without obstruction. This unobstructed view is particularly advantageous for capturing wide panoramas and dynamic compositions.
Itinéraire Aérien :
À la Découverte de la Camargue depuis Avignon
Notre aventure commence à Avignon, une ville historique située sur les rives du Rhône. Après un bref briefing et une introduction à notre gyrocoptère, nous nous envolons vers le sud, suivant le majestueux Rhône jusqu'à Arles.
Arles : Ville d'Art et d'Histoire
Survolant Arles, nous découvrons une ville imprégnée de culture et d'histoire. Connu pour son amphithéâtre romain, Arles est également célèbre pour avoir inspiré le peintre Vincent van Gogh. Depuis le ciel, l'agencement des ruines romaines et des édifices médiévaux offre une vue spectaculaire, idéale pour les photographes.
Aigues-Mortes : Gardienne de l'Histoire
En continuant notre vol, nous atteignons la ville fortifiée d'Aigues-Mortes. Fondée par Louis IX (Saint Louis) au XIIIe siècle, cette ville servait de point de départ pour les croisades en Terre Sainte. Les impressionnantes murailles médiévales, encore intactes, racontent l'histoire d'un passé glorieux et stratégique. Vue du ciel, la forme géométrique parfaite de la ville et ses remparts imposants sont un véritable régal pour les yeux.
Les Salines : Un Monde de Couleurs
Non loin d'Aigues-Mortes, nous survolons les vastes salines qui s'étendent à perte de vue. La production de sel, une activité traditionnelle de la région, crée un paysage unique avec des bassins d'évaporation aux couleurs changeantes. Les variations de teinte, du rose vif au vert intense, sont dues à la concentration de sel et à la présence de micro-organismes comme la Dunaliella salina, une algue qui prospère dans les environnements salins et donne cette coloration spectaculaire.
Saintes-Maries-de-la-Mer : Carrefour des Cultures
Notre vol nous mène ensuite à Saintes-Maries-de-la-Mer, un village emblématique de la Camargue. Cette ville est réputée pour son pèlerinage des Gitans, qui célèbre chaque année Sainte Sara, la patronne des Gitans. Les rues étroites, les maisons blanches et les plages sauvages font de cette destination un lieu unique, empreint de spiritualité et de traditions séculaires.
Retour vers Avignon : Un Final Éblouissant
Sur le chemin du retour vers Avignon, nous survolons les marais et les étangs, habitats naturels de milliers de flamants roses et d'autres oiseaux aquatiques. Chaque année, cette région accueille environ 20 000 flamants roses, créant des scènes aériennes d'une beauté incomparable. Les marais, enrichis par les dépôts alluviaux du Rhône, offrent une palette de couleurs et de textures qui fascinent les photographes du monde entier.
Conclusion
Voler en gyrocoptère au-dessus du delta du Rhône est une expérience inoubliable qui combine aventure, histoire et photographie. La diversité des paysages, des villes historiques aux étendues naturelles préservées, offre un spectacle aérien d'une richesse exceptionnelle. Pour ceux qui s'intéressent à cette aventure unique, le coût varie de 300 à 400 euros, ce qui en fait un investissement rentable pour les souvenirs et les photos époustouflantes que vous capturerez. Que vous soyez passionné par l'histoire, la nature ou la photographie, ce voyage aérien au-dessus de la Camargue promet des moments inoubliables et des images à couper le souffle.
Aerial Itinerary:
Discovering the Camargue from Avignon
Our adventure begins in Avignon, a historic city located on the banks of the Rhône. After a brief briefing and an introduction to our gyrocopter, we take off southwards, following the majestic Rhône to Arles.
Arles: City of Art and History
Flying over Arles, we discover a city steeped in culture and history. Known for its Roman amphitheater, Arles is also famous for inspiring the painter Vincent van Gogh. From the sky, the arrangement of Roman ruins and medieval buildings offers a spectacular view, ideal for photographers.
Aigues-Mortes: Guardian of History
Continuing our flight, we reach the fortified town of Aigues-Mortes. Founded by Louis IX (Saint Louis) in the 13th century, this town served as a departure point for the Crusades to the Holy Land. The impressive medieval walls, still intact, tell the story of a glorious and strategic past. From the sky, the perfect geometric shape of the town and its imposing ramparts are a true feast for the eyes.
The Salt Marshes: A World of Colors
Not far from Aigues-Mortes, we fly over the vast salt marshes that stretch as far as the eye can see. The production of salt, a traditional activity of the region, creates a unique landscape with evaporation ponds of changing colors. The color variations, from bright pink to intense green, are due to the concentration of salt and the presence of microorganisms like Dunaliella salina, an algae that thrives in saline environments and gives this spectacular coloration.
Saintes-Maries-de-la-Mer: Crossroads of Cultures
Our flight then takes us to Saintes-Maries-de-la-Mer, an emblematic village of the Camargue. This town is renowned for its Gypsy pilgrimage, which annually celebrates Saint Sara, the patron saint of the Gypsies. The narrow streets, white houses, and wild beaches make this destination a unique place, imbued with spirituality and age-old traditions.
Return to Avignon: A Dazzling Finale
On the way back to Avignon, we fly over marshes and ponds, natural habitats for thousands of flamingos and other water birds. Each year, this region hosts about 20,000 flamingos, creating aerial scenes of incomparable beauty. The marshes, enriched by the Rhône’s alluvial deposits, offer a palette of colors and textures that fascinate photographers worldwide.
Conclusion
Flying a gyrocopter over the Rhône delta is an unforgettable experience that combines adventure, history, and photography. The diversity of landscapes, from historic towns to preserved natural expanses, offers an aerial spectacle of exceptional richness. For those interested in this unique adventure, the cost ranges from 300 to 400 euros, making it a worthwhile investment for the memories and breathtaking photos you will capture. Whether you are passionate about history, nature, or photography, this aerial journey over the Camargue promises unforgettable moments and stunning images.
Conseil pour la Photographie
Discuter de l'Itinéraire avec le Pilote
Avant de monter à bord, il est crucial de discuter de l'itinéraire avec le pilote. Connaître le parcours prévu et les hauteurs limites de vol vous permettra de mieux préparer votre matériel et de choisir l'objectif adéquat. Le pilote pourra vous informer sur les altitudes à respecter, les zones de survol interdites et les meilleurs endroits pour capturer des images spectaculaires. Assurez-vous de bien comprendre ces paramètres afin de ne pas être pris au dépourvu pendant le vol.
Choisir un Zoom Polyvalent
Le choix de l'objectif est essentiel pour la photographie aérienne. En fonction de l'altitude de vol, optez pour un zoom polyvalent. Un objectif 24-105mm est idéal pour les vols à basse altitude, offrant une bonne flexibilité pour capturer des paysages larges et des détails rapprochés. Pour des vols à plus haute altitude, un objectif 70-200mm sera plus approprié, permettant de zoomer sur des sujets distants sans sacrifier la qualité de l'image.
Bien Attacher Son Matériel
La sécurité de votre matériel est primordiale en gyrocoptère. Assurez-vous que tout votre équipement est solidement attaché avant de décoller. Il est fortement déconseillé de changer d'objectif en vol, car cela pourrait non seulement endommager votre matériel, mais aussi mettre en danger la sécurité du vol. Prévoyez donc un objectif polyvalent qui répondra à vos besoins tout au long du vol.
Éviter de Prendre Appui sur la Structure de l'Appareil
Les vibrations en vol peuvent facilement provoquer des flous sur vos photos. Pour minimiser ce risque, évitez de prendre appui sur la structure du gyrocoptère. Tenez votre appareil photo avec les mains et utilisez votre corps comme un stabilisateur naturel. Cela aidera à réduire l'impact des vibrations et à obtenir des images plus nettes.
Choisir les Bons Réglages de l'Appareil
Pour des photos nettes et bien exposées, réglez votre ouverture autour de f/8. Cette ouverture offre une bonne profondeur de champ tout en maintenant une qualité d'image optimale. Utilisez une vitesse d'obturation rapide pour éviter le flou de mouvement causé par les vibrations et la vitesse du gyrocoptère. Une vitesse d'au moins 1/1000 seconde est recommandée. Pour compenser les variations de lumière, mettez les ISO en mode automatique. Cela permettra à votre appareil d'ajuster la sensibilité en fonction des conditions d'éclairage, assurant ainsi des images bien exposées.
Tips for Aerial Photography
Discuss the Route with the Pilot
Before boarding, it is crucial to discuss the route with the pilot. Knowing the planned course and the flight altitude limits will allow you to better prepare your equipment and choose the appropriate lens. The pilot can inform you about the altitudes to maintain, no-fly zones, and the best spots for capturing spectacular images. Make sure to understand these parameters well to avoid being caught off guard during the flight.
Choose a Versatile Zoom Lens
Choosing the right lens is essential for aerial photography. Depending on the flight altitude, opt for a versatile zoom lens. A 24-105mm lens is ideal for low-altitude flights, offering good flexibility to capture wide landscapes and close-up details. For higher altitude flights, a 70-200mm lens will be more appropriate, allowing you to zoom in on distant subjects without sacrificing image quality.
Secure Your Equipment
The safety of your equipment is paramount in a gyrocopter. Make sure all your gear is securely fastened before takeoff. It is strongly discouraged to change lenses in flight, as this could not only damage your equipment but also endanger the flight's safety. Therefore, choose a versatile lens that will meet your needs throughout the flight.
Avoid Leaning on the Aircraft's Structure
Vibrations during flight can easily cause blur in your photos. To minimize this risk, avoid leaning on the gyrocopter's structure. Hold your camera with your hands and use your body as a natural stabilizer. This will help reduce the impact of vibrations and result in sharper images.
Choose the Right Camera Settings
For sharp and well-exposed photos, set your aperture around f/8. This aperture provides a good depth of field while maintaining optimal image quality. Use a fast shutter speed to avoid motion blur caused by vibrations and the gyrocopter's speed. A speed of at least 1/1000 second is recommended. To compensate for light variations, set the ISO to automatic. This will allow your camera to adjust sensitivity based on lighting conditions, ensuring well-exposed images.
By Didier Steyaert
posted June 26th, 2021 - Geneva
Nous sommes post pandémie, je précise, de COVID, car nous ne sommes pas à l'abri d'en connaitre d'autres... et j'y suis.
C'est en 1997 que je découvre le Volcan Ijen à travers l'émission de Nicolas Hulot et j'y suis...
On se couche à 18h00 et réussi à dormir jusqu'au levé à 00h30.
Une heure de voiture sur une route de montagne plutôt en bonne état où nous nous faisons doubler par des scooter puis nous arrivons à l'entrée du site Pondok Bunder (2 214 m).
Je suis étonné car seulement trois voitures sur le parking et une dizaine de personne au départ.
A l'ouverture (2h du matin), nous commençons la monté sur une piste de terre de 3km assez raide (il y a eu un gros orage la veille et cela glisse un peu).
Un couple d'allemand est devant nous et cela rend la monté plus compliquée pour moi car avec leur lampe j'arrive à estimer la pente.
Ca ne dure pas longtemps car ils sont parti trop fort et se crament assez vite, nous sommes les premiers.
Nous arrivons en haut au bout d'une heure de monté et il fait toujours nuit. On sent déjà le souffre et il fait froid, environ 12 degrés.
On met nos masques et on commence la descente de 400m de dénivelé dans le cratère du volcan.
Cela commence à ressembler à de l'alpinisme. C'est un petit chemin étroit entre d'énormes blocs de roche couvert de poudre blanche et de soufre.
Pour se croiser il faut trouver un renfoncement où se mettre pour laisser la place. Les blocs sont énormes…
C'est grandiose.
À la moitié de la descente, le vent tourne et là on comprend ce qu'est le souffre. Le nuage est épais et chaud, une cinquantaine de degrés, mais surtout ça sent très fort même à travers le masque et ça brûle les yeux.
Je panique un peu, je ne suis pas sûr de l'efficacité du masque alors je m'accroupis et je me calme. La respiration n'est pas facile, il faut forcer mais à part l'odeur ça va.
Je me suis vraiment fait surprendre par la chaleur et la densité des vapeurs.
Le masque est vraiment efficace et heureusement les vents sont changeants.
Je suis surpris (notre guide aussi) de ne voir aucun porteur, durant la descente. Sur le chemin, on croise des petites cabanes où on entend des gens ronfler.
Nous mettons 45 min pour faire la descente, à peu près 400m de dénivelé.
Devant nous une installation guide les vapeurs des fumeroles du haut vers le bas pour les faire condenser dans des gros bidons en acier. Le souffre est liquide à plus 115 degrés et coule sur le sol où il se solidifie.
Tout à coup un ouvrier s'approche de ces plaques de soufre équipé d'une barre à mine et commence à casser des morceaux ceux-ci finissent dans des paniers pour être remonté en haut du cratère.
je regarde cet homme: il n'a pas de chaussures, pas de gants et surtout pas de masque. ces outils : une barre à mine pour casser les plaques de soufres, une petite Hachette pour que les morceaux rentrent dans son panier et une lampe.
Le long des tuyaux les gaz s'enflamment et par moments tout le nuage de soufre s’éclaire de bleu. Le contraste de la lampe jaune de l'ouvrier et de ces flammes est très photogénique.
Au bout d'une heure, nous commençons à être rejoints par d'autres touristes ; les vapeurs stagnent dans le cratère et nous décidons de remonter.
La pente est très raide et la difficulté est augmentée avec l'effort qu'il faut fournir pour respirer à travers le masque. C'est seulement en haut du cratère que l'on sort du nuage et que le jour se lève. Le ciel est couvert mais le décore est magique: les parois du volcan, le nuage soufré, le lac vert du cratère (qui est le plus acide de la planète avec un pH inférieur à 0,5) et le relief sculpté par les éruptions.
Vers 7h du matin nous redescendons et là, avec le jour, je me rends compte de la pente. Sur le chemin, nous croisons des porteurs avec des charrettes : ils sont 3 ou 4 pour tirer des touristes.
Je me dis que c'est honteux, que si tu peux pas monter, tu n’y vas pas.
Puis, en discutant avec les locaux, ils m'expliquent que la montée c’est 50€ à se partager entre les porteurs, ce qu’y bien moins dangereux que de porter du soufre et surtout mieux payé : le kilo de soufre leur rapporte 0.5€.
Dans un sens je comprends…
We are post pandemic, I specify, of COVID, because we are not safe from knowing others... and I am there.
It was in 1997 that I discovered the Ijen volcano through Nicolas Hulot's show and I am there...
We went to bed at 6pm and managed to sleep until we got up at 12:30am.
An hour of driving on a mountain road in good condition where we are overtaken by scooters then we arrive at the entrance of the Pondok Bunder site (2 214 m).
I am surprised because only three cars on the carpark and about ten people at the beginning.
At the opening (2am), we start the climb on a 3km dirt track quite steep (there was a big storm the day before and it's a bit slippery).
A German couple is in front of us and it makes the climb more complicated for me because with their lamp I can estimate the slope.
It doesn't last long because they started too hard and they burn out quickly, we are the first.
We arrive at the top after an hour of climbing and it is still dark. We already smell the sulphur and it's cold, about 12 degrees.
We put on our masks and start the 400m descent into the crater of the volcano.
It starts to look like mountaineering. It's a narrow path between huge boulders covered in white powder and sulphur.
To cross each other, you have to find a recess where you can stand to make room. The blocks are huge...
It is grandiose.
Halfway down, the wind changes and we understand what sulphur is. The cloud is thick and hot, about fifty degrees, but above all it smells very strong even through the mask and it burns the eyes.
I panic a bit, I'm not sure of the mask's effectiveness so I crouch down and calm down. Breathing is not easy, I have to force it but apart from the smell it's fine.
I was really surprised by the heat and the density of the fumes.
The mask is really effective and fortunately the winds are changing.
I am surprised (so is our guide) not to see any carriers during the descent. On the way, we pass small huts where we hear people snoring.
It takes us 45 minutes to make the descent, about 400m of ascent.
In front of us, an installation guides the vapours from the fumaroles from the top to the bottom to condense them in big steel drums. The sulphur is liquid at over 115 degrees and sinks to the ground where it solidifies.
Suddenly a worker approaches these sulphur plates with a crowbar and starts breaking off pieces which end up in baskets to be taken up to the top of the crater.
I look at this man: he has no shoes, no gloves and above all no mask. His tools: a crowbar to break the sulphur plates, a small hatchet so that the pieces fit into his basket and a lamp.
Along the pipes the gases ignite and at times the whole sulphur cloud lights up blue. The contrast of the worker's yellow lamp and these flames is very photogenic.
After an hour we start to be joined by other tourists; the vapours stagnate in the crater and we decide to go back up.
The slope is very steep and the difficulty is increased by the effort required to breathe through the mask. It is only at the top of the crater that we emerge from the clouds and the day breaks. The sky is overcast but the scenery is magical: the walls of the volcano, the sulphurous cloud, the green lake of the crater (which is the most acidic on the planet with a pH below 0.5) and the relief sculpted by the eruptions.
Around 7am we go back down and there, with the daylight, I realise how steep it is. On the way, we meet porters with carts: there are 3 or 4 of them to pull tourists.
I tell myself that it's a shame, that if you can't go up, you don't go.
Then, while talking to the locals, they explain to me that the climb is 50€ to be shared between the porters, which is much less dangerous than carrying sulphur and better paid: a kilo of sulphur brings them 0.5€.
In a way I understand...
By Didier Steyaert posted Jan 14th, 2021 - Geneva
Venise est une ville touristique très célèbre, comment peut-on espérer prendre des photos intéressantes alors que tout ce qui nous ceinture est toujours la foule ?
Et bien, il y a plusieurs moyens.
Par exemple, la première chose à faire est de se déplacer vers les endroits touristique à l'heure où ils n'y sont pas et où la lumière est la plus belle: les premières heures du matin.
Ensuite, il existe plusieurs tours à Venise qui offrent des vues incroyables.
Pour finir, il y a plusieurs quartiers de Venise - qui sont largement éloignés des quartiers touristiques - qui sont déserts et offrent une atmosphère exclusive.
Voici un exemple de programme sur trois jours:
Jour 1:
Lever du jour sur les gondoles de la place St Marc
Visite de la Basilica San Marco
Visite du Palazzo Ducale
Visite de S. Maria della Salute et de la pointe de la Douane
Remontée en Vaporeto vers le pont du Rialto
Coucher du Soleil sur le Pont du Rialto
Photos de nuit autour du pont du Rialto et des bateaux en mouvement...
Déjeuner et dîner dans une trattoria typique.
Jour 2:
Une journée dans la lagune avec la visite des îles de Murano (Atelier de verre), à Burano, l'île aux mille couleurs, Torcello et sa magnifique basilique ancienne... déplacement en bateau.
https://www.ceetiz.fr/venise/excursion-en-bateau-sur-les-iles-de-murano-burano-et-torcello
Dîner dans une trattoria typique à Venise.
Jour 3:
Lever du jour depuis le pont de l’Acadomia
Visite du Palazzo Labia
Visite du Ghetto
Visite du marché du Pont du Rialto
Départ pour l’aéroport ...
Venice is a very famous tourist city, so how can you expect to take interesting pictures when all that surrounds you is the crowd?
Well, there are several ways.
For example, the first thing to do is to move to the tourist spots at the time when they are not there and when the light is the most beautiful: the first hours of the morning.
Secondly, there are several tours in Venice that offer incredible views.
Finally, there are several areas of Venice - which are largely removed from the tourist areas - that are deserted and offer an exclusive atmosphere.
Here is an example of a three-day programme:
Day 1:
Sunrise on the gondolas in St. Mark's Square
Visit to the Basilica of San Marco
Visit to Palazzo Ducale
Visit to S. Maria della Salute and the Customs House
Take the Vaporeto to the Rialto Bridge
Sunset on the Rialto Bridge
Night photos around the Rialto Bridge and the moving boats...
Lunch and dinner in a typical trattoria.
Day 2:
A day in the lagoon with a visit to the islands of Murano (Glass workshop), Burano, the island of a thousand colours, Torcello and its magnificent ancient basilica... travel by boat.
https://www.ceetiz.fr/venise/excursion-en-bateau-sur-les-iles-de-murano-burano-et-torcello
Dinner in a typical trattoria in Venice.
Day 3:
Sunrise from the Acadomia Bridge
Visit to Palazzo Labia
Visit to the Ghetto
Visit to the Rialto Bridge market
Departure for the airport ...
By Didier Steyaert posted October 23th, 2021 - Geneva
Découvrez la Camargue, la plus grande zone humide de France, au travers de cinq jours de photographe sur ce territoire mystérieux, à la biodiversité exceptionnelle, situé à la frontière des départements du Gard et des Bouches-du-Rhône, abritant in particular 417 types d'oiseaux.
En voiture, nous suivons des chemins qui serpentent, qui nous rapprochent, qui nous éloignent, qui contournent les vagues, qui découpent les côtes.
Durant ces cinq jours de visite des Saintes-Maries-de-la-mer , d'Aigues Mortes du Parc Ornithologique de Pont de Gau, la visite d'une Manade, des ballades dans les marais et pourquoi pas finir par un vol en ULM histoire de prendre un peu de hauteur.
By Didier Steyaert posted Nov. 2nd, 2020 - Geneva
Phang Nga Bay is located in the Andaman Sea (400 km2) and is located in southern Thailand.
It opens to the south, between the province of Phuket to the west, Phang Nga to the north and Krabi to the east.
Since 1981, a large part of the bay has been protected through the Ao Phang Nga National Park.
La baie de Phang Nga se trouve en mer d'Andaman (400 km2) et est située dans le sud de la Thaïlande.
Elle s'ouvre vers le sud, entre la province de Phuket à l'ouest, celle de Phang Nga au nord et celle de Krabi à l'est.
Depuis 1981, une grande partie de la baie est protégée par l'intermédiaire du parc national de Ao Phang Nga.
By Didier Steyaert posted Nov. 1st, 2020 - Geneva
This former English colonial island, whose city of George Town was founded in 1786 by Captain Francis Light, is one of the richest, most vibrant and cosmopolitan islands in Malaysia.
Penang is punctuated by major cultural and religious events.
It must be said that with such a religious mixture, it is impossible to go through multiple celebrations!
Whether you're keen on culture, passionate about street art and foodie, we love Penang.
This is indeed the asset of this island: an incredible cultural and artistic interest, due to the waves of immigration.
The city of George Town has experienced continuous growth thanks to its trading activity, since replaced by Singapore on the transcontinental route.
The continuous immigration of Chinese from Fujian (Hokkien) from the 19th century to the 1930s explains the majority of Chinese origin.
Today, Penang is the only state on the Malay Peninsula without a Malay majority.
Penang Island was a free port until 1969, this status is now assigned to Langkawi.
Tourism provides an important source of income for this province but is not the only economic source.
The specialization in the semiconductor industry makes it one of the main production sites in Asia and, since 2010, the manufacturing sector has taken an increasingly important place in Penang.
By Didier Steyaert posted Jul. 16, 2019
Not easy to know how to do and behave when traveling: this is the conclusion I made on my last trip with a strong desire for street photography.
So, I looked for a local photographer and came across the site of Arnaud Foucard:
www.vietnamphotoadventures.com
Arnaud offers, among other things, a few hours of accompaniment in the Chinatown of Ho Chi Minh: the Cholon district.
This district, very little frequented by tourists, has preserved its traditions and its unique blend of Chinese and French influenced architecture.
The colorful lanes, with worn yellow and green walls, provide an ideal background for dynamic street scenes.
Departure at dawn for 4/5 hours of photographic walk, Arnaud presented us some techniques related to street photography as well as basic vocabulary then put into practice by capturing street vendors and bystanders during their daily activities .
Street photography from a different angle, looking for the right light and anticipating shots by working in advance on settings and composition.
The morning is over by crossing a local market with an incredible atmosphere.
If this meeting did not please me I will not even talk about it and it is by these few lines that I wanted to share this experience and especially this meeting with Arnaud who speaks French, English and Vietnamese.
Pas facile de savoir comment faire et se comporter lorsque l’on voyage: c’est le constat que j’ai fait lors de mon dernier voyage avec une forte envie de photo de rue.
Alors, j’ai cherché un photographe local et suis tombé sur le site d’Arnaud Foucard:
www.vietnamphotoadventures.com
Arnaud propose, entre autre, un accompagnement de quelques heures dans le Chinatown de Ho Chi Minh: le quartier Cholon.
Ce quartier, très peu fréquenté par les touristes, a su préserver ses traditions et son mélange unique d'architecture d'influence chinoise et française.
Les ruelles très colorées, avec des murs jaunes et verts usés, offrent un décor idéal pour des scènes de rue dynamique.
Départ aux aurores pour 4 à 5 heures de balade photographique, Arnaud nous a présenté quelque techniques relatives à la photographie de rue ainsi que du vocabulaire de base puis mise en pratique en capturant des vendeurs de rue et des passants dans le cadre de leurs activités quotidiennes.
Photographie de rue sous un angle différent, recherche de la bonne lumière et anticipation des prises de vue en travaillant à l'avance sur les réglages et la composition.
La matiné c’est finie par la traversé d’un marché local avec une atmosphère incroyable.
Si cette rencontre ne m’avait pas plu je n’en parlerai même pas et c’est par ces quelques lignes que je voulais partager cette expérience et surtout cette rencontre avec Arnaud qui parle Francais, Anglais et Vietnamien.
Séjours chez Nyoman et son fils Eka qui sont des balinais francophone, artiste peintre et chauffeur/guide de Bali et java.
Leur maison d'hôtes se trouve pas très loin d'Ubud dans le village d’artiste de Keliki.
Indépendants, ils attachent une grande importance à la tradition, à la connaissance de la culture de l’île et au partage.
Au programme : découverte des charmes et beauté de l’île, ses sites incontournables et insolites, tout en partageant avec vous l’enthousiasme, la gentillesse et délicatesse des balinais.
Vous pourrez apprécier ses rizières en terrasse lors d’une balade dans la jungle de Keliki à Ubud, les reliefs volcanique et leurs source chaudes, les temples, les sites architecturaux, les traditions et coutumes ainsi que les plages paradisiaques.
Ils vous proposent une grande variétés de tours découverte à la journée, modulables selon vos envies et passions.
N'hésitez pas à les contacter via leur page facebook: https://www.facebook.com/rumahkeluargabali/
Pour ma part, cela aura été, de tous mes voyages, l’un de mes meilleurs séjours ...
Stays at Nyoman and his son Eka who are French Balinese, painter and driver/guide of Bali and java.
Their guest house is not far from Ubud in the artist village of Keliki.
Independent, they attach great importance to the tradition, to the knowledge of the culture of the island and sharing.
On the program: discovery of the charms and beauty of the island, its unmissable and unusual sites, while sharing with you the enthusiasm, kindness and delicacy of the Balinese.
You will be able to enjoy its terraced rice fields during a walk in the jungle from Keliki to Ubud, the volcanic reliefs and their hot water, the temples, the architectural sites, the traditions and customs as well as the paradisiac beaches.
they offer a wide variety of tours discovered by the day, flexible according to your desires and passions.
Feel free to contact them via their facebook page: https://www.facebook.com/rumahkeluargabali/
For my part, it has been, of all my travels, one of my best stays ...
By Didier Steyaert posted Mai. 07, 2019
Le Sri Lanka est une grosse île de 200 par 450 km du sous-continent indien, situé au sud-est de l'Inde, et peuplé de vingt-deux millions d'habitants.
Le Sri Lanka était aussi nommé Ceylan jusqu'en 1972.
Le pays possède une grande diversité religieuse, culturelle et linguistique. Ainsi, le Sri Lanka possède deux langues officielles reconnues par la Constitution du pays à parts égales, le cingalais et le tamoul. La première est prédominante dans la plus grande partie du pays, 73,8 % de habitants sont cingalais, pour environ 26,1 % de tamouls.
Une guerre civile prend de l'ampleur à compter de 1983 : elle oppose le gouvernement Cingalais au Tigres tamoul.
En prenant en compte les événements d'avant la guerre proprement dite, cette guerre civile a causé la mort de plus de 100 000 personnes depuis 1972.
Le Sri Lanka a été gravement touché par le tsunami du 26 décembre 2004 autant au niveau matériel qu'au niveau humain (plus de 30 000 morts confirmés et de 21 000 blessés).
Après la trêve de 2002-2005, le conflit s'accélère et rentre dans une phase décisive en 2009. Avec l'appui logistique de la Chine et du Pakistan, le président Rajapakse (élu sur un programme ultra-sécuritaire) mène une « guerre contre le terrorisme » dont il veut purger le pays. L'offensive est particulièrement sanglante avec 40 000 morts selon des estimations qui ne prennent pas en compte plusieurs dizaines de milliers de disparus (dont une grande partie de civils).
Les combats cessent le 17 mai 2009 et le chef de l’État Sri Lankais déclare solennellement le 19 mai 2009 devant le Parlement la victoire écrasante de la République démocratique et socialiste du Sri Lanka.
Cette magnifique ile au sud de l'Inde est devenu une destination à la mode depuis la fin de la guerre civile.. Entre paysages de montagne, jungle, plages de rêve et culture (l’un des berceaux du bouddhisme), le Sri Lanka est un petit pays qui a beaucoup à offrir.
Bien que le Sri Lanka soit relativement petit, les infrastructures et la topographie du pays font que les temps de transport sont très longs, pour parcourir des distances plutôt faibles: il faut compter 1 heure pour 30 km parcourus que ce soit en train ou en voiture. (Source Wikipedia)
Pour notre premier voyage, qui aura duré deux semaines, nous nous sommes concentrés sur le triangle culturel, entre Mihintale, Sigirîya et Kandy ainsi que sur Sud de l’île qu’on appelait encore jadis Ceylan.
Nous sommes arrivé à Colombo en début de journée et avons décidé de finir cette journée à Negombo afin de nous remettre du voyage et du décalage horaire.
La plupart de nos déplacements ont été fait en taxi (il faut compter de 30 à 50 euros pour un journée complète) sauf le voyage vers Kandy que nous avons fait en train (2 à 3 euros par personne).
Pour ce qui est des logements , nous avons organisé notre voyage en réservant des guesthouses et des homestays afin de faire des rencontres et de profiter et partager la vie des locaux.
Une fois sur place, on s'est rendu compte qu'il est facile de partir à l'aventure et de trouver de quoi se loger au dernier moment. Les prix sont dérisoires ... De 5 à 10 euros par nuit.
Globalement, nous avons un retour très positif sur notre séjour ! Nous avons trouvé les Sri Lankais généreux, souriants et sympathiques.
La cuisine sri lankaise devient vite répétitive mais nous avons tout de même déniché quelques incontournables tels que le Kottu roti, le Biryani, le fired rice ou encore le Devilled .
En général, on peut faire confiance à TripAdvisor pour trouver les meilleures tables des alentours.
Depuis la fin de la guerre civile, le Sri Lanka est en train de s’ouvrir au tourisme mais n’est pas encore tout à fait prêt. Il n’est pas rare de galérer plus d’une heure pour trouver son bus ou de ne pas pouvoir disposer d’une carte pour se repérer dans un lieu touristique, malgré des entrées à plus de 20 € ! Et oui, pour certains sites touristiques (Anuradhapura ou Sigirîya par exemple), l’entrée est excessivement chère, par rapport au niveau de vie du pays mais heureusement les locaux bénéficient d’un tarif spéciale.
Les lieux de culte sont immenses et la ferveur qui y règne est remarquable. Les paysages montagneux de Nuwara Eliya et ses alentours valent vraiment le détour. Colombo, la capitale, est l’exception : moderne et en pleine expansion, nous avons trouvé cette ville irrespirable. Globalement, les Sri Lankais ont un très mauvais rapport à l’environnement, n’hésitant pas à jeter leurs déchets plastiques par la fenêtre du bus ou du train en marche… Concernant le climat, il fait très chaud et humide à Colombo (difficilement respirable), chaud et sec dans le centre (Annuradhapura, Kandy) et plutôt froid dans les montagnes de Nuwara Eliyah !
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Sri Lanka is a large island of 200 by 450 km of the Indian subcontinent, located in the south-east of India, and populated by twenty-two million inhabitants.
Sri Lanka was also named Ceylon until 1972.
The country has a great religious, cultural and linguistic diversity. Thus, Sri Lanka has two official languages recognized by the country's Constitution in equal parts, Sinhalese and Tamil. The former is predominant in most parts of the country, with 73.8% Sinhalese and 26.1% Tamil.
A civil war has been growing since 1983: it opposes the Sinhalese government to the Tamil Tigers.
Taking into account the events before the war itself, this civil war has caused the death of more than 100,000 people since 1972.
Sri Lanka was severely affected by the 26 December 2004 tsunami, both at the material and human levels (more than 30,000 confirmed deaths and 21,000 injuries).
After the truce of 2002-2005, the conflict accelerates and enters a decisive phase in 2009. With the logistical support of China and Pakistan, President Rajapakse (elected on an ultra-safe program) leads a "war against terrorism "which he wants to purge the country. The offensive is particularly bloody with 40 000 deaths according to estimates that do not take into account several tens of thousands of missing (including a large part of civilians).
The fighting ends on May 17, 2009 and the Sri Lankan Head of State solemnly declares on May 19, 2009 in front of the Parliament the overwhelming victory of the Democratic and Socialist Republic of Sri Lanka.
This beautiful island in southern India has become a fashionable destination since the end of the civil war. Between mountain landscapes, jungle, dream beaches and culture (one of the cradles of Buddhism), Sri Lanka is a small country that has a lot to offer.
Although Sri Lanka is relatively small, the infrastructure and topography of the country mean that transport times are very long, to travel distances rather low: it takes 1 hour for 30 km traveled whether by train or car . (Source Wikipedia)
For our first trip, which lasted two weeks, we focused on the cultural triangle, between Mihintale, Sigiriya and Kandy and on the south of the island that was once called Ceylon.
We arrived in Colombo early in the day and decided to end this day in Negombo to recover from the trip and jet lag.
Most of our trips were done by taxi (it costs 30 to 50 euros for a full day) except the trip to Kandy we made by train (2 to 3 euros per person).
In terms of housing, we organized our trip by booking guesthouses and homestays to meet and enjoy and share the lives of locals.
Once on site, we realized that it is easy to go on an adventure and find accommodation at the last moment. Prices are ridiculous ... From 5 to 10 euros per night.
Overall, we have a very positive feedback on our stay! We found the Sri Lankans generous, smiling and friendly.
Sri Lankan cuisine quickly became repetitive, but we still found some essential items such as Kottu roti, Biryani, fired rice or Devilled.
In general, TripAdvisor can be trusted to find the best tables in the area.
Since the end of the civil war, Sri Lanka is opening up to tourism but is not quite ready yet. It is not uncommon to go over an hour to find his bus or not be able to have a map to find a place in a tourist, despite entries to more than 20 €!
And yes, for some tourist sites (Anuradhapura or Sigiriya for example), the entrance is excessively expensive, compared to the standard of living of the country but fortunately the locals enjoy a special rate.
The places of worship are immense and the fervor that reigns there is remarkable. The mountainous landscapes of Nuwara Eliya and its surroundings are really worth seeing. Colombo, the capital, is the exception: modern and expanding, we found this city unbreathable. Overall, the Sri Lankans have a very bad relationship with the environment, not hesitating to throw their plastic waste by the window of the bus or the train running ... Regarding the climate, it is very hot and humid in Colombo (difficult to breathe) ), hot and dry in the center (Annuradhapura, Kandy) and rather cold in the mountains of Nuwara Eliyah!
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By Didier Steyaert posted Nov. 08, 2018
“Pour venir à Tel Aviv cela ne me prend pas plus de temps que de prendre un long métro …” bon c’est un peu exagéré mais c’est vrai que la destination n’est qu’à 4 heure de la France.
Quitter la grisaille de Novembre, le temps d’un long week-end, Israël est la destination idéal qui allie à la fois visites culturelles, séance farniente en bord de mer et expériences culinaires.
Israël ne m’a pas laissé indifférent... Un week-end de 4/5 jours suffit amplement pour goûter aux joies des visites dans la ville de Tel Aviv, visiter les sites historiques de Jérusalem, une excursion à la mer morte et profiter de la plage.
L’aller-retour vers Tel Aviv, depuis Genève, nous a coûté un peu plus de 100 euros par personne et aucun visa n’est nécessaire avant votre arrivé. Les douaniers pourront vous poser quelques questions sur la nature de votre séjour et vous délivreront un ticket de séjour à présenter notamment lors du retour.
Normalement il pleut en Novembre en Israël mais on eu de la chance car la saison des pluies n’avait pas commencé et on a profité de températures largement au dessus de 30 degrés facilement supportable car avec un taux d’humidité très faible.
Pour ce qui est du logement, on a opté pour un Airbnb dans Tel Aviv à 400m de la plage … Mais il y a plein de solution que vous soyez seul ou en famille.
Pour se déplacer, ne connaissant pas le pays, nous avons opté pour les transport en commun qui sont très performants dans tout le pays.
Pour les amoureux du 2 roues, il y a 120 km de pistes cyclable dans Tel Aviv.
Tel Aviv : Tel Aviv est une ville très cosmopolite, on y entend beaucoup le francais et le russe. Les plages de la ville sont très belles et très bien aménagées et la ville regorge de parcs et d’espaces verts. Si vous avez le temps vous pouvez passer au musée d’art de la ville, mais surtout allez vous perdre dans le quartier de Jaffa.
Jérusalem : Terre Sainte, Jérusalem est le haut lieu des trois grandes religions que sont : L’Islam, Le Christianisme et le Judaïsme. La ville est très moderne et un tram vous emmène directement de la gare de bus à la vieille ville. Ne loupez pas le Dôme du Rocher, le mur des lamentations en passant par la Basilique du Saint-Sépulcre. Jérusalem est une ville palpitante et pleine de vie qui ne vous laissera pas indifférent.
La mer morte : c’est le spot incontournable pour tous ceux qui visitent Israël. Située à 420 mètres en dessous du niveau de la mer, soit le point le plus bas du globe, la mer morte est en fait un immense lac très salé: 280 gr par litre d’eau … c’est presque 10 plus que l’Atlantique. pour y aller, il y a un seul bus direct depuis Tel Aviv et beaucoup plus depuis Jerusalem
Evidemment, 5 jours ne sont pas suffisants et il reste beaucoup de chose à voir pour de prochains séjours: Nazareth, Bethléem, Le monastère Saint-Georges datant du 4e siècle, Qasr El Yehud : le site où Jésus se serait fait baptiser selon le Nouveau Testament ou encore le désert de Judée
"To come to Tel Aviv it does not take me more time than taking a long metro ..." well it's a little exaggerated but it's true that the destination is only 4 hours from France.
Leaving bad weather of November for a long weekend, Israel is the ideal destination that combines cultural visits, beachside relaxation and culinary experiences.
Israel did not leave me indifferent ... A weekend of 4/5 days is enough to taste the joys of visits in the city of Tel Aviv, visit the historic sites of Jerusalem, a trip to the Dead Sea and enjoy from the beach.
The round trip to Tel Aviv, from Geneva, cost us just over 100 euros per person and no visa is required before your arrival. The customs officers will be able to ask you some questions about the nature of your stay and will deliver you a ticket of stay to present in particular during the return.
Normally it rains in November in Israel but we were lucky because the rainy season had not started and we enjoyed temperatures well above 30 degrees with a very low humidity.
In terms of accommodation, we opted for an Airbnb in Tel Aviv 400m from the beach ... But there is plenty of solution whether you are alone or with family.
To move, not knowing the country, we opted for public transport that is well organized throughout the country.
For lovers of 2 wheels, there are 120 km of bike paths in Tel Aviv.
Tel Aviv: Tel Aviv is a very cosmopolitan city, you can hear a lot of French and Russian. The beaches of the city are very beautiful and well appointed and the city is full of parks and green spaces. If you have the time you can go to the art museum of the city, but most of all get lost in the Jaffa district.
Jerusalem: Holy Land, Jerusalem is the Mecca of three great religions: Islam, Christianity and Judaism. The city is very modern and a tram takes you directly from the central bus station to the old town. Do not miss the Dome of the Rock, the Wailing Wall through the Basilica of the Holy Sepulcher. Jerusalem is a thrilling city full of life that will not leave you indifferent.
The Dead Sea: it's the must-see spot for anyone visiting Israel. Located 420 meters below sea level, the lowest point on the globe, the Dead Sea is actually a huge, very salty lake: 280 gr per liter of water ... it's almost 10 times more than Atlantic. to get there, there is only one direct bus from Tel Aviv and many more from Jerusalem
Of course, 5 days are not enough and there are much more to see for future stays: Nazareth, Bethlehem, the 4th century Saint George Monastery, Qasr El Yehud: the site where Jesus would be baptized according to the New Testament or the Judean Desert.
By Didier Steyaert posted Mar. 03, 2018
Cette série reflète mes impressions; celles que j'ai eu lors de mes premières visites à New-York.
Une sorte de vibration, une émotion, une surexcitation de tous mes sens .... les odeurs, le bruit constant,
les bruits stridents, la foule, le scintillement des lumières, la démesure ....
se sentir tout petit dans cette jungle verticale et vertigineuse.
Retrouvez l'ensemble de la serie sur https://500px.com/dstphoto/galleries/nyc-parallele
By Didier Steyaert posted Jan. 28, 2018
Après trois semaines à Bali voici quelque photos de personnes au fils des rencontres.
Art, travail des champs, spiritualité ... que de belles rencontres.
Série Noir et blanc ...
After three weeks in Bali here are some pictures of people we met.
Art, work of the fields, spirituality ... .
Black and white serie ...
By Didier Steyaert posted Nov. 25, 2017
Les Alpes - mythe. La montagne sacrée pour les sportifs et les artistes. Mère Nature aux multiples facettes. Chasseur de rêves. La montagne, c'est l'idée de voyage, de grands espaces, de grand air, de grandes émotions. La montagne, c'est l'âme de la montagne.
Certains pensent que la montagne est un endroit compliqué à photographier. Mais il suffit de la regarder comme si c'était la première fois, de la regarder autrement, et vous ne pourrez pas vous empêcher de la photographier.
Le mont Blanc et les Alpes, c'est un paysage qui ne se fait jamais trop connaître, et on a envie de le découvrir encore et encore.
La photo est une œuvre d'art, qui raconte des histoires, qui réveille des émotions, qui éveille des souvenirs.
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